SIBYLLE DE MEEUS
Botswana
À genoux sur la terre rouge, le danseur devient esprit.
Son corps peint parle une langue ancienne, plus vraie que les mots.
Chaque geste relie le visible à l’invisible, le vivant à l’ancestral.
Dans la poussière, il laisse une trace — mémoire et invocation.
Ici, l’homme ne joue pas : il devient le souffle même du monde.





